Deux filles ont disparu. Paul Chartier, un jeune policier, rejoint une unité secrète qui traque un délinquant sexuel. Après que l’opération ait mal tourné, Chartier part seul à la poursuite des auteurs, frustré par les restrictions légales. Comprend Nosferatu, une symphonie des Grauens (1922). Je sais qu’il faudrait dire “si tu peux”… et je pense que ça aurait marché aussi… mais j’ai décidé d’aller dans ce sens… toujours sans jeu de mots. Le film est basé sur une histoire vraie – et je n’ai aucune idée de ce qui s’est passé dans les années 90… et d’après ce que j’ai compris, il faut beaucoup de liberté créative… avec qui a fait quoi à qui… qui a survécu et qui n’a pas survécu… et je suppose que le personnage principal (police/gendarmerie) est un mélange de plusieurs personnages en un seul – évidemment, je peux me tromper, mais je ne serais pas surpris si c’était le cas. Cela dit, le film pourrait être long (2,5 heures) mais on ne le ressent jamais ainsi. Eh bien, peut-être pendant le mariage au début… j’y suis déjà allé, je l’ai fait et je le sais. Les Grecs font la fête de la même manière – comme les Italiens… est-ce nécessaire pour l’histoire ? Je dirais que non… mais peut-être que je rate quelque chose. La partie passionnante est vraiment bien faite… on a de la compassion pour le personnage principal… beaucoup de choses tournent mal… il a le bon œil, il a le bon « nez »… mais sera-t-il capable de convaincre les autres de cela ? De nombreux départements travaillent presque les uns contre les autres… c’est bien raconté et bien joué… pourtant pour moi, il manque le facteur X pour surpasser ce film… autant d’éloges qu’il peut en recevoir… et aussi bon soit-il… il manque l’impulsion finale… peut-être un peu plus de charisme… plus de tension tout au long… et ainsi de suite.